_ C'est compatible
Et si vous avez accordé votre confiance au vendeur, qui vous a fait l'article, vous avez eu l'occasion de découvrir bien d'autres mensonges.
Avec Palladium, Microsoft vient ajouter un énorme mensonge avec ce qu'il a nommé ironiquement l'"Informatique de Confiance".
Cette bataille, car il s'agit bien de cela, qu'a engagé Microsoft contre le Logiciel Libre et les licences GPL et LGPL est
une atteinte, aux droits de l'utilisateur, à la liberté de l'informatique et à la liberté du citoyen.
Quel sont vos droits ?
Si vous n'êtes pas encore un utilisateur de systèmes et logiciels libres, vos droits sont très limités.
En tant qu'acheteur, donc propriétaire d'une licence, d'un logiciel (Adobe, Caere...) ou d'un système comme Windows vous n'êtes autorisé qu'à une simple
installation/utilisation sur un poste (ordinateur) par un utilisateur (le propriétaire de la dite licence).
Si vous ne respectez pas le contenu de la licence (copie illégale) vous serez passible de poursuite judiciaire.
Prenons comme exemple la licence Microsoft Windows, dont voici un extrait :
" Le PRODUIT LOGICIEL n'est pas vendu, mais concédé sous licence.
CONCESSION DE LICENCE :Le présent CLUF (Contrat de Licence Utilisateur Final) vous concède les droits suivants:
Installation et utilisation du Logiciel. Sauf disposition expresse contraire prévue à l'article 1 de ce CLUF, vous n'êtes autorisé à installer et à utiliser
qu'un seul exemplaire du PRODUIT LOGICIEL sur l'ORDINATEUR. ...etc."
En clair, vous n'avez pas acheté un produit mais Microsoft (MSLI) vous concède le droit d'utilisation de ce produit.
Vous n'êtes donc pas autorisé à le céder à un tiers ou à le revendre.
Ci-joint, également, une explication plus spécifique à la licence Windows 2000 et XP.
Je vous engage donc, si vous en avez, à lire très attentivement vos licences.
Vous devez savoir que l'utilisation illégale (sans licence, copie, programme cracké...) de produits sous licence vous place en
infraction et que vous encourrez une peine de prison de plusieurs mois et une forte amende de plusieurs milliers d'euros.
Et non, vous n'êtes pas à l'abri d'une dénonciation, sachez que des éditeurs membre du BSA (www.bsa.org)
mettent à disposition, de toutes personnes ayant l'utilisation d'un ordinateur avec un accès internet, sur leur site un formulaire qui permet de dénoncer en 2 clics
une personne soupçonnée d'avoir piraté un logiciel ou utilisé une copie sans licence :
Le B.S.A. : une police de proximité ?(www.linuxfrench.net)
Bon, me direz-vous, j'ignorai qu'il fût possible d'utiliser un système d'exploitation autre que Windows : D'ailleurs le vendeur ne m'a
pas laissé le choix, le système était déjà installé sur la machine!
Heureusement il existe des lois et cette vente forcée (OEM) est illégale.
La vente forcée
Vous trouverez sur le site LinuxFrench.NET, une page où les associations AFUL, ALDIL, APRIL, Linux-Azur, Parinux, ALL...
permettent aux consommateurs, lors de l'achat d'un ordinateur, de refuser d'être victime de ces ventes forcées de logiciels, par le biais des ventes liées dites « OEM ».
La répression des fraudes (Direction de la Consommation, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes) est obligée de traiter
chacune des plaintes qu'elle reçoit, et a les pouvoirs nécessaires pour faire cesser cette situation.
Et, en grande partie, leurs actions sont basées sur les témoignages des consommateurs.
Dans cette section vous pourrez prendre connaissance de vos droits et des mesures possibles, pour :
Pour l' île de France
_Direction Régionale et Départementale Concurrence Consommation Répression des Fraudes
8 r Froissart 75003 PARIS
_Direction Départementale Concurrence Consommation et Répression des Fraudes
Pré Chamblain 77000 MELUN
_Direction Départementale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes
30 r Jean Mermoz 78000 VERSAILLES
_Direction Concurrence Consommation et Répression des Fraudes
34 cours Blaise Pascal 91000 EVRY
_Direction Départementale de la Concurrence et de la Répression des Fraudes (D.D.C.C.R.F.)
167 av F et I Joliot Curie 92000 NANTERRE
_Direction Départementale Concurrence Consommation et Répression des Fraudes
908F av Paul Vaillant Couturier 93000 BOBIGNY
_Direction Départementale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes (D.D.C.C.R.F)
3Bis r Archives 94000 CRETEIL
_Direction Départementale de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes
imm Le Montaigne 6 bd Oise 95000 CERGY
Vous pourrez aussi consulter ces pages directement depuis le site de www.linuxfrench.net/oem/
Un autre site à visiter, n'ayant que peu de rapport avec le sujet traité ici, est le site de la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés)
pour connaître vos droits (entre autre face aux "Spam" Messages publicitaires non solicités) : http://www.cnil.fr
La communauté du Libre
" Si tu ne sais pas, demande. Si tu sais, alors partage."
Qu'est-ce que le Logiciel libre ?
Cette liberté dans le logiciel libre est avant tout celle de l'utilisateur final,
ce dernier doit pouvoir, d'abord disposer de la liberté d'utiliser ou non ce logiciel ;-) ,
avoir la liberté d'utiliser ce logiciel pour l'usage qui lui convient,
être libre d'étudier le fonctionnement de ce logiciel,
enfin avoir la liberté de modifier et d'adapter ce logiciel à des besoins spécifiques.
Pour pouvoir disposer entièrement de cette liberté, vous ne devez pas être obligé de faire
une quelconque déclaration à quelque autorité que ce soit : Ne pas confondre avec une inscription à un support technique.
Quatre conditions pour être Libre :
Pour la FSF (Free Software Fondation), www.fsf.org fondée en 1984 par Richard Stallman,
4 conditions sont à remplir pour qu'un logiciel soit libre :
1)_ Avoir accès au code source du programme
2)_ Pouvoir modifier et adapter le programme à ses besoins
3)_ Pouvoir redistribuer des copies du programme
4)_ Pouvoir publier le code source modifié
Et cela quelles que soient les spécificités de la licence sous laquelle est distribué le logiciel.
Attention ! Libre ne signifie pas obligatoirement Gratuit.
Un logiciel libre, qui répond aux 4 conditions citées plus haut, peut être modifié, utilisé et revendu par une société.
Le statut d'un logiciel libre, demeure intacte même si vous avez payé pour vous le procurer.
La Licence GPL :
La General P ublic License s'applique à la plupart des distributions Linux, et régit tous les projets GNU.
Pour définir des conditions d'utilisation supplémentaires, la GPL place le programme qu'elle protège sous "copyleft".
Le "Copyleft":
Ce principe, que défend la FSF, oblige que le code source modifié doit être à son tour placé sous GPL.
Cela pour éviter qu'un programme sous GPL ne devienne un jour un programme propriétaire.
Contrairement à un logiciel OpenSource ou sous GPL, un programme programme propriétaire ne donne pas accès à son code source.
La GPL a pour but, la protection du travail des développeurs de logiciels libres et ainsi la liberté de l'utilisateur à pouvoir adapter le programme aux
fonctions pour les quelles il le destine.
La Licence Open Source :
Certains éditeurs informatique utilise une "variante marketing" de la GPL pour la distribution de leurs produits.
Ces logiciels proposés sous licence Open Source sont accompagnés de leur code source, mais là s'arrête le point commun avec la GPL.
Dans ce cas vous n'êtes pas autorisé ni à modifier ce code source ni à le redistribuer sans l'accord de l'éditeur.
Un programme Open Source est donc un programme pour lequel vous disposez du code source avec quelques
avantages sur un programme propriétaire, comme :
Le droit de vendre ou de donner le logiciel en tant que composant d'une distribution ou d'un ensemble contenant des programmes de diverses origines.
Cette vente n'est pas soumise à l'acquittement de droits d'auteur ou de royalties.
Cette licence autorise les modifications et les travaux dérivés, et leur distribution sous les mêmes conditions que celles autorisées par la licence du programme original.
Qu'est-ce que le Projet GNU?
Le Projet GNU a été démarré en 1984 par Richard M. Stallman afin de créer un système d'exploitation similaire à UNIX utilisant du logiciel libre.
Il a également lancé la "Free Software Foundation" pour traiter les aspects juridiques et organisationnels du Projet GNU et pour répandre l'usage et la connaissance du Logiciel Libre. La Free Software Foundation formula la Licence Publique Générale GNU (LPG) et la Licence Publique Générale GNU Limitée, qui, au fil des ans, sont devenues les licences de Logiciel Libre les plus utilisées.
Le Projet GNU consiste en des sous-projets, plus petits, maintenus par des volontaires ou des sociétés et ayant généralement le but de créer ou de maintenir un composant fonctionnel. Ces sous-projets sont appelés "Projets GNU" ou "Projets Officiels GNU".
Le nom du Projet GNU provient d'un acronyme récursif "GNU is Not UNIX". UNIX étant à l'origine non seulement un certain type de système mais également un produit, ceci cherchait à symboliser le fait que le projet GNU a pour objectif de créer un système compatible mais pas identique à UNIX.
Le Système GNU est (comme les autres systèmes d'exploitation UNIX) modulaire et aujourd'hui le Système GNU avec un noyau Linux - nommé Système GNU/Linux - est largement utilisé et fournit la base des "Distributions Linux".
Copyright (C) 2003 FSF Europe
La reproduction exacte et la distribution intégrale de cet article est permise sur n'importe quel support d'archivage, pourvu que cette notice est préservée.
FSF Europe (http://www.fsfeurope.org)
GNU FSF (http://www.gnu.org)
Sur le site d' APRIL, vous trouverez de l'info sur Richard M. Stallman plus souvent nommé RMS .
http://www.april.org/articles/intro/gnu.html
Le site de RMS (http://www.stallman.org)
Pour plus d'informations, visitez ces pages en ligne :
Une page sur la philosophie GNU Sur le site de l'APRIL.
Une FAQ sur le logiciel Libre Sur le site de l'APRIL.
Une explication du copyleft Sur le site GNU.
Description de la licence GPL
Description de la licence LGPL
Description de la licence FDL
Et beaucoup d'autres informations sur le site de l'AFUL
L'informatique, les Lois et les Brevets
Les Lois: Propositions de mesures
Référence: http://swpat.ffii.org - brevets logiciels -
Article: http://swpat.ffii.org/papiers/eubsa-swpat0202/demandes/index.fr.html
Auteur: version française par François Pelegrini, 2002/04/04
La proposition de directive de la Commission Européenne sur la Brevetabilité des Innovations Informatiques nécessite une réponse du Parlement Européen,
des gouvernements des États membres et autres acteurs politiques. Voici nos propositions.
Nous sommes préoccupés par les faits suivants
1. L'Office Européen des Brevets (OEB ) a, en contradiction tant avec la lettre qu'avec l'esprit de la loi, accordé plusieurs
dizaines de milliers de brevets portant sur des idées relatives aux logiciels et aux méthodes commerciales, que nous appellerons ci-dessous "brevets logiciels".
2. La Commission Européenne (CEC ) oeuvre à la légalisation de ces brevets, afin de les rendre valides dans toute l'Europe. En agissant de la sorte,
elle méprise le souhait manifeste et le raisonnement argumenté de la grande majorité des professionnels de l'informatique, ainsi que des économistes.
3. La CCE a basé sa proposition sur un document qui a apparemment été écrit par la Business Software Alliance (BSA ),
une organisation étasunienne dominée par de grandes entreprises telles que Microsoft.
4. Les brevets logiciels interfèrent avec le droit d'auteur et le copygight, et tendent à l'expropriation des créateurs de logiciels plutôt qu'à la protection de leur propriété.
Aucune des nombreuses études économiques n'a pu montrer que les brevets logiciels induisent plus de productivité, d'innovation,
de diffusion du savoir ou sont de quelque autre manière bénéfiques sur le plan macro-économique. La brevetabilité logicielle,
telle que proposée par la CEC/BSA, crée qui plus est de nombreuses incohérences au sein du système de brevets et invalide certains des fondements
sur lesquels il est construit. Il en résulte que tout peut être brevetable et qu'il ne peut plus exister de sécurité juridique.
5. Les institutions participant au système de brevet européen ne sont pas soumises à un contrôle démocratique suffisant.
La séparation entre pouvoirs législatif et judiciaire est insuffisante ; en particulier, l'OEB semble être à l'origine de nombreuses pratiques abusives et illégales.
Défense de la copie privée
Voici un article sur l' EUCD et la défense de la copie privée que vous retrouverez sur le site de
EUCD (http://eucd.info/pr-2002-12-24.fr.php)
Les Brevets
Référence: http://petition.eurolinux.org/reference/agenda.html
Ressources: http://swpat.ffii.org/news/index.fr.html
Articles: http://petition.eurolinux.org/reference/examples.html
Pétition: http://petition.eurolinux.org/index.html
Les Brevets, c'est quoi ?
Matériels :
RAMBUS revendiquait le fait de toucher des royalties de la part de tous les constructeurs de mémoire (DDR).
Il s'avère que le fondeur américain RAMBUS avait, très tôt et en secret, breveté des technologies ouvertes, oralement élaborées lors de forums réguliers où se
réunissent librement tous les acteurs du silicium. Et RAMBUS avait ensuite attendu que les autres fondeurs, Samsung et consorts, industrialisent les concepts communs et
mettent leurs nouvelles mémoires sur le marché pour faire valoir ses brevets et réclamer des droits.
Bon, là, l'arnarque était un peu trop grosse et trop voyante.... La commission américaine pour la libre concurrence, en août 2003, intentait un
procès anti-trust à RAMBUS : http://linuxfr.org/2001/12/02/6147.html
Logiciels :
Utilisation d'une fonction Real-time:
Même autour du libre, les sociétés qui font de l'argent avec les produits GPL (ce n'est pas interdit) déposent des brevets (Caldera, RedHat)
comme la société RTLinux, basant l'essentiel de son activité sur les produits GPL, a déposée un brevet sur "l'adjonction d'une fonction Real-time à un OS généraliste".
Voir l'article sur: http://linuxfr.org/2001/06/11/3840.html
Amélioration de sécurité de réseaux par coupure physique d'un ordinateur intermédiaire des deux cotés en alternance:
Pour mieux protéger un internet contre des attaques hacker, le mur de feu et toujours coupé sur un des deux cotés.
Ainsi une communication en deux directions est maintenue par alternation rapide. Le propriétaire de ce brevet affirme que ce principe simple peut
procurer une sécurité absolue a un intranet, tandis que les murs de feu actuelle procurent seulement une sécurité relative.
Même si cette assertion semble douteuse, tous ceux qui veulent faire fonctionner ce principe doit obtenir une permission de Fraunhofer.
Prise de contrôle d'un ordinateur par un autre:
Des systèmes comme RPC, Telnet et toute sorte de informatique client-serveur était couverte par les revendication, mais après 10 ans d'examination
l'Office Européen de Brevet accordait ce brevet avec une gamme réduite a Wang Laboratories.
Maintenant le brevet semble couvrir toutes les invocation à distance de procédures ou les variables sont stockées dans le protocole et ne pas nécessairement
transmises séparément comme paramètres lors de chaque invocation d'une procédure.
Référence: http://swpat.ffii.org/brevets/echantillons/index.fr.html
Statistique des Brevets Logiciels de l'OEB :
http://swpat.ffii.org/brevets/namcu/index.fr.html
Mobilisation des PME contre les brevets logiciels, consultez l'article en ligne:
http://www.abul.org/brevets/actions/pme/
Vous trouverez d'autres exemples et informations, dans les rubriques "News" et "Forum", sur des sites comme :
APRIL (www.april.org).
AFUL (www.aful.org).
FSF Europe (www.fsfeurope.org)
Linux FR (linuxfr.org)
CLX (clx.anet.fr/)
Planète Libre (www.planetelibre.org)
Journal du Net (solutions.journaldunet.com/)
Linux Nantes (www.linux-nantes.fr.eu.org)
A la fin de ce document vous trouverez un extrait d'un forum , assez représentatif des questions,
analyses et interrogations que postent les utilisateurs, du monde libre et les autres.
La confiance et la sécurité selon M$
Pour ceux qui n'auraient pas encore pris connaissance de ce que nous réserve l'informatique selon Bill Gates,
ou si vous ignorez ce qu'est le DRM, TCPA, Palladium, DMCA, CSPLA et EUCD, je vous recommande de lire ces articles.
Une explication de Richard Stallman sur TCPA/Palladium
Qu'est-ce que TCPA
une FAQ sur TCPA/Palladium
DRM, TCPA/palladium et la puce Fritz ?
Le CLUF () Microsoft
Le projet se nomme DRM, Bill Gates va utiliser au niveau matériel de l'ordinateur un système TCPA qu'il va ensuite exploiter avec une nouvelle
version de Windows. Ceci dans le but de contôler le niveau "HardWare" de la machine et le lancement des applications.
Un serveur Microsoft (MSLI) sur internet sera chargé de récupérer ces informations et ainsi autoriser le système à lancer ou non une application.
Cette "Informatique de confiance" d'après Microsoft est nécessaire pour sécuriser le système et éviter aussi la copie illégale des supports multimédia
(DVD, CD, MP3...etc).
Voir l'article sur http://solutions.journaldunet.com/0302/030225_microsoft.shtml
Bien évidemment les maisons d'édition, à une grande majorité, sont favorable à ce projet, mais aussi les constructeurs comme AMD et INTEL
pour implanter le DRM dans leur processeur. D'ailleur ce dernier, Intel, a annoncé que son prochain processeur "Prescott" aura bien une architecture TCPA :
Vous trouverez l'annonce d'Intel sur http://www.theinquirer.net/?article=7878.
TCPA confirmé pour Prescott http://www.linuxfr.org/2003/02/25/11446.html
AMI BIOS (American Megatrends) a sorti le 6 janvier 2003 son bios AMIBIOS8 supportant le TCPA 1.0 :
Des informations sur le sujet, aux adresses:
http://slashdot.org/article.pl?sid=03/01/09/166251, http://www.ami.com/ami/showpress.cfm?PrID=118
Bien évidemment cela sens l'hypocrisie de la part de Microsoft, sous le prétexte de sécuriser votre réseau ou éviter l'infection de votre système
par les virus, une tierce personne, Bill Brother, va contrôler votre système et vos données. Mais là je vous laisse tirer vos conclusions à la lecture de ces différents articles.
Consultez également les articles:
Palladium : Ca commence à faire peur !!!! http://www.mail-archive.com/linux-leman@alphanet.ch/msg08806.html
L'article en ligne de Richard Stallman sur Palladium :http://clx.anet.fr/spip/article.php3?id_article=142
Un chroniqueur technologique s'inquiète de "Windows 1984" sur: http://archie.homelinux.net:8080/archives/000123.html
Devinez qui vient fouiller chez vous ce soir http://www.uzine.net/article1940.html
La nouvelle botte secrète de Micro$oft http://www.linux-nantes.fr.eu.org/article.php3?id_article=82
DRM, TCPA, Palladium, DMCA, EUCD...
- DRM : Digital Right Management, gestion numérique des droits pour la certification des données(applications et fichiers).
- TCPA : Trusted Computing Platform Alliance, technologie matérielle pour implanter le DRM.
- Palladium : Technologie de Microsoft basée sur le matériel TCPA pour interdire l'exécution de contenus non certifiés.
- Fritz chip : Puce portant le nom du sénateur Fritz Hollings qui fait pression sur le congrès pour mettre du DRM partout.
- DMCA : Digital Millenium Copyright Act,
- EUCD : Equivalent Européen du DMCA.
- CSPLA : Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique.
- BSA : Business Software Alliance, organisation (USA) des grandes entreprises (dont Microsoft).
- CEC : Commission Européenne, travaillant à la légalisation des brevets pour toute l'Europe.
- OEB : Office Européen des Brevets